ARK NETWORK reference.ch · populus.ch    
 
  
IPSS/LE BIEN-ETRE/UNESCO-GABEC 
 
 
Rubriques

Historique
Objectifs
Organisation
Les études
cours en vrac
projets
Archives
Quoi de neuf
Plan d'actions
Echos de l'ESS
NOS IMAGES
guidefinalistes
PALMARES FINAL
bucco-dentaire
PV DELIB 07 08
QUESTIONS G-OBS
LECON
PSYCHIATRIE
PALMARES
PV REUNIOS
COURS SANTE BD
cours soins bucc
STATUT et ROI
INTRO PATHOLOGI
LISTES DES ACQUI
PALMARES 08 -09
Enseignant
VOCABULAIRE
questions
PEDIATRIE
T.SOINS 3 A2
SANTE COM 1 A2
SANTE COM 3 A2
COURS T.S 2 A2
programme bucco
Santébucco-dent
soins bucco-dent
questions 3 A 2
cours PIP
cours patho chi
ETHIQUE PROF
RAPPORTS D'ACT
PALMARES BUCCO
DOC.ADM
COURS DE PEDIATR
patho.Interne
cours de pharmac
NORMES MEDICALES
COURS GYNECOLOGI
COURS D'OBSTETRI
TECHNIQ.COMMUN
TECHN.DE VENTE
TFC A1 CECILE
carnet de stage
FICHE EVALUATION
P.V 2013/2014
RAPPORT 13/14
jury 13/14
Vente en pharma
cas cliniques
memoire kindoki
RAPPORT STAGE
HOPITAUX
LOI CADRE SP
PALMARES 2013/14
PROJET VENTE
Ecole des VENDEURS PHAR
COURS LEGISL.PHA
MEMOIRE IN LINE
RESPONSABILITE
CODE DEONTOLOGIE
ETHIQUE PROFFESS
Entomologie
MEDECINE LEGALE
PREDICATIONS
parasitologie
rapports de stag
COURS PUERICULTU
TECHNIQUE DE COM
TECHNIQUE DE VEN
ENTOMOLOGIE
statut csbu
BIBLE MED LEGALE
criminalistique
sante mentale
techni readapati
ordinogramme
LEGISLATION PHAR
INITIATION PHARM
PHARMACO GENERAL
REFERENTIELLE
HYGIENE OFFINALE
SECOURISME
NUTRITION VP
PUERICULTURE VP
GESTION DE L'OFF
Ref form vend p
guide vendeur ph
psych vendeur ph
soins de santé
biologie general
chimie générale
READAPTATION
PSYCO PATIENT
PSYCH PHARMACIE
PSYCH SOCIALE
HYGIENE OFFICI
SSP EN PHARMACIE
SECOURISME VP
PALMARES APC

 

Liens

 Home  | Livre d'Or  | Album-Photo  | Contact

LA FOI

 
MES PREDICATIONS 
 
 
ECC/CEPAC/8e/IKOBO/KATINDO/ GOMA le 22/03/2015 
Notre père: Donne-nous le pain de ce jour  
Adressez-vous à Dieu pour ce qui est nécessaire chaque jour 
Jésus priait un jour en un certain lieu. Lorsqu'il eut achevé, Luc l’un de ses disciples lui dit : « Seigneur, enseigne-nous à prier, comme Jean l’a enseigné à ses disciples » (Luc 11 :1). Jésus lui a alors donné un modèle de prière que l’on appelle depuis le Notre Père. Ce modèle est aussi rapporté dans Matthieu, comme faisant partie du sermon sur la Montagne (voir Matthieu 6 :11). 
Une prière de la conversion, celle de la repentance et de la foi. 
La prière n'est pas une réunion d'informations à Dieu, pour le renseigner comme s'il ne le savait pas ! Le Seigneur le sait avant que nous le demandions, mais Il veut qu'on le lui demande. Voici maintenant les paroles bien connues du Seigneur aussi appelées la prière dominicale. 
De tous les sujets qui ont trait à la vie chrétienne, si celui de la prière est parmi les plus importants, il est aussi l'un des plus mal compris tant par ceux qui se réclament du christianisme, que par ceux qui n'y adhèrent pas. La prière, c'est le premier souci du véritable chrétien, et c'est le dernier de l'incrédule.  
Beaucoup de gens ont sur la prière une idée faussée ; ils ignorent en général, c'est la nature de la prière, le but de la prière, la valeur de la prière et la puissance de la prière 
Il y a, dans cette construction de phrase, ce qu'on appelle un pléonasme volontaire : "Donne-nous aujourd'hui notre pain de ce jour". Evidemment, dira quelqu'un, que c'est un pain de ce jour puisque c'est aujourd'hui ! Qu'est-ce que ça veut dire : C'est intentionnel, ça veut dire que je peux mettre ma confiance en Dieu pour tout, mais un jour à la fois. C'est-à-dire que comme je ne peux pas manger en un jour de quoi vivre tout un mois, eh bien je ne peux pas non plus accumuler assez de confiance en un jour pour aller tout un mois.  
Donne-nous aujourd'hui notre pain quotidien - ou notre pain de ce jour. 
Le pain quotidien est un bien précieux, il permet de : 
1) marcher avec lui jour après jour. 
2) mettre notre confiance en Dieu de tout mais un jour à la fois. 
3) renouveler notre foi fois de jour en jour, on ne stocke pas la foi, on ne peut pas accumuler assez de confiance en un jour pour aller tout un mois.  
4) Faire grandir notre foi et notre confiance en Dieu et en son Fils divin. 
5) Adresser à Dieu pour ce qui est nécessaire chaque jour nourrit notre foi. 
6) faire confiance, à se tourner-vers lui dans chacune de nos pensées, sans doute, sans crainte.  
7) recevoir l’essentiel pour apprendre à faire confiance à Dieu et à supporter les difficultés de la vie. 
8) Faire confiance au Seigneur, les solutions pourront être données avec le temps 
 
Alors : "Père céleste, donne-moi aujourd'hui ce que j'ai besoin pour aujourd'hui d'abord et puis demain tu y pourvoiras dans une confiance renouvelée jour après jour". 
Dans la Bible, à une époque où la longévité était exceptionnelle, il est question d'un homme nommé Enoch qui a marché 300 ans avec Dieu. Ça veut dire qu'il a marché 300 fois 365 jours ! "Donne-nous Seigneur, aujourd'hui notre pain de ce jour", veut dire que spirituellement aussi il est nécessaire de marcher quotidiennement avec le Seigneur ? 
Dans le Notre Père, on trouve la demande : « Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien » (Matthieu 6 :11) ou « Donne-nous chaque jour notre pain quotidien » (Luc 11 :3). Je crois que nous que nous avons chaque jour des besoins pour lesquels l’aide de notre Père céleste nous est nécessaire. Pour certaines personnes, certains jours, c’est littéralement du pain, c’est-à-dire la nourriture nécessaire pour survivre ce jour-là. Ce peut aussi être la force spirituelle et physique de supporter un jour de plus une maladie chronique ou une rééducation lente et douloureuse. Dans d’autres cas, ce peut être des besoins moins tangibles comme des choses liées à des obligations ou des activités ce jour-là - donner une leçon ou passer un examen, par exemple. 
Jésus nous enseigne, à nous, ses disciples, que nous devons demander à Dieu chaque jour le pain - l’aide et le soutien - dont nous avons besoin ce jour-là. C’est conforme au conseil : « Vous devez toujours prier, et ne pas vous relâcher, que vous ne devez rien faire pour le Seigneur sans tout d’abord prier le Père, au nom du Christ, qu’il consacre votre œuvre à vous-mêmes, afin que votre œuvre soit pour le bien-être de votre âme ».  
L’invitation du Seigneur à demander notre pain quotidien à notre Père céleste évoque un Père aimant, conscient du moindre des besoins quotidiens de ses enfants et désireux de les aider, un par un. Il dit que nous pouvons demander avec foi à cet Être qui « donne à tous simplement et sans reproche » et qu’elle nous sera donnée (Jacques 1 :5). C’est, bien sûr, extrêmement rassurant, mais il y a ici, à l’œuvre, quelque chose de plus important que de l’aide pour tenir bon au jour le jour. Quand nous demandons et que nous recevons du pain quotidien divin, notre foi et notre confiance en Dieu et en son Fils divin grandissent. 
Nous adresser à Dieu chaque jour pour nos besoins nourrit notre foi 
Vous vous rappelez sans doute le grand exode des tribus d’Israël d’Égypte et les quarante ans qu’elles ont passées dans le désert avant d’entrer dans leur terre promise. Il fallait nourrir cette grande foule de plus d’un million de personnes. 
En lui fournissant sa subsistance quotidienne, un jour à la fois, Jéhova essayait d’enseigner la foi à une nation qui en quelque quatre cents ans avait perdu beaucoup de la foi de ses pères. Il enseignait à ces gens à lui faire confiance, à se tourner-vers lui dans chacune de leurs pensées, à ne pas douter, à ne pas craindre ». 
Il leur donnait assez pour un jour à la fois. Excepté le sixième jour, ils ne pouvaient pas stocker de manne pour l’utiliser le lendemain ou les jours suivants. En fait, les enfants d’Israël devaient marcher avec lui ce jour-là et avoir confiance qu’il leur accorderait suffisamment de nourriture le lendemain pour le lendemain, et ainsi de suite. De cette façon, il ne pourrait jamais être très éloigné de leurs pensées. 
De même, quand nous supplions Dieu de nous accorder notre pain quotidien, de l’aide dans les moments où nous ne pouvons pas nous la fournir nous-mêmes, nous devons cependant nous efforcer activement de faire et de fournir ce que nous pouvons. 
Nous avons besoin du « pain quotidien » de Dieu pour atteindre notre potentiel 
Demander à Dieu notre pain quotidien et le recevoir sont essentiels pour apprendre à faire confiance à Dieu et à supporter les difficultés de la vie. 
Nous avons aussi besoin d’une portion quotidienne de pain divin pour devenir ce que nous devons être. C’ est un processus qui se fait étape par étape. Intégrer des habitudes nouvelles et saines à notre personnalité ou nous débarrasser de mauvaises habitudes ou de dépendances signifie très souvent un effort aujourd’hui suivi d’un autre demain, puis d’un autre, peut-être pendant de nombreux jours, voire des mois et des années, jusqu’à ce que nous remportions la victoire. Mais nous pouvons y parvenir parce que nous pouvons supplier Dieu de nous donner notre pain quotidien, l’aide dont nous avons besoin chaque jour. 
S’attaquer aux grands problèmes par petites bouchées quotidiennes 
Demander à Dieu notre pain quotidien, et non hebdomadaire, mensuel ou annuel, est aussi une manière de nous concentrer sur les éléments plus petits, plus gérables d’un problème. Pour faire face à quelque chose de très grand, il se peut que nous devions nous y attaquer par petits morceaux quotidiens. Parfois, tout ce que nous pouvons supporter, c’est une journée (ou même juste une partie d’une journée) à la fois. 
Faire confiance au Seigneur, les solutions pourront être données avec le temps 
Le fait de demander l’aide de Dieu presque chaque jour pendant plusieurs années peut nous apprendre comment prier et recevoir des réponses à la prière, la manière très pratique à avoir foi en Dieu.  
Jésus-Christ est le Pain de vie 
Souvenez-vous que la manne était un prototype et un symbole, le pain de vie, le Rédempteur. 
« Jésus leur dit : Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim, et celui qui croit en moi n’aura jamais soif. 
« En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi a la vie éternelle.  
« Je suis le pain de vie.  
« Vos pères ont mangé la manne dans le désert, et ils sont morts. 
« C’est ici le pain qui descend du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point. 
« Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement ; et le pain que je donnerai, c’est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde » (Jean 6:35, 47-51). 
Je vous rends témoignage de la réalité vivante du Pain de Vie, Jésus-Christ, et du pouvoir et de la portée infinis de son expiation. En fin de compte, c’est son expiation, sa grâce, qui est notre pain quotidien.  
Nous devrions le rechercher chaque jour, pour faire sa volonté chaque jour, pour ne faire plus qu’un avec lui comme il est un avec son Père (voir Jean 17:20-23).  
Bénissons son saint nom afin que, sa grâce nous soit accordée, lorsque nous le lui demanderons, notre Père céleste nous accorderons notre pain quotidien.  
Au nom de Jésus-Christ. Amen. 
Ev .Dr BEKOMA Henri Paul 
CEPAC/ IKOBO/GOMA 
 
 
vLevons-nous et bâtissons 
Catégories : Paroles de dimanches 
Dans les messages précédents nous avons vu que le peuple d’Israël avait rebâti l’autel et le temple. L’autel, pour nous, c’est le sacrifice de Jésus. Sans lui, il n’y a rien du tout dans nos vies. Le temple, c’est la présence de Dieu. Si nous ne l’avons pas dans nos vies par le Saint-Esprit, il n’y a rien. Si nous avons obtenu la présence de Dieu, c’est parce que Jésus est mort pour nous et ressuscité, et nous donne sa vie de résurrection. 
Avec Esdras, il y a un retour à la Parole de Dieu. Après la reconstruction de l’autel et du temple, c’est la reconstruction des murailles de Jérusalem. Une ville sans murailles était très fragile : des ennemis, des pillards pouvaient entrer et détruire. 
Néhémie est chargé du service auprès de l’empereur Artaxerxès (qui était peut-être le beau-fils d’Esther). Il apprend que la muraille est en piteux état. Touché dans son coeur, il commence à prier et se donne lui-même comme réponse à la prière. Il va alors interpeller l’empereur, qui va lui donner tout ce qu’il faut et lui permettre d’aller sur place (Néhémie 2.1-8). 
Néhémie est un homme d’action. Il se met en route et propose un plan d’action très simple : « Levons-nous et bâtissons. » (Néhémie 2.20) Ils ont rencontré de multiples obstacles, Néhémie a été calomnié, on a essayé de tendre des pièges… Ça peut arriver, des coups durs, quand on commence à agir, mais Dieu nous les fait surmonter.En 52 jours les murailles ont été rebâties, cela faisait 4 kilomètres… (Néhémie 6.15) 
Néhémie 3.1-5 
Comment ont-ils fait pour construire en si peu de temps ? Une suite de catégories de personnes, de familles, vont se mettre le long des murailles : 45 sections sous la direction d’une quarantaine de maîtres d’oeuvre. 
Pour nous aujourd’hui, dans l’Église globale et locale, quels sont les endroits à réparer, les lieux fragiles, comme des brèches ? Chacun a à reconstruire, à réparer quelque chose. Chacun et chaque groupe, en cohérence avec les autres, doit bâtir. 
v.5 : les notables d’une section refusent de travailler, ils vont faire leur petit bout de muraille sans tenir compte du reste, faire leur propre truc en dehors d’une soumission réciproque que la Bible demande. La conséquence, c’est que la jonction a dû être compliquée avec la portion d’à côté. Pourquoi cette réaction ? Égoïsme, vue trop étroite, caractère indépendant, ils voulaient garder le pouvoir sur ce qu’ils avaient fait ?… Ils construisaient une muraille globale, mais ils n’ont pas considéré cela. 
Levons-nous et construisons en cohérence les uns avec les autres. 
Néhémie 3.8-13, 23, 28-32 
Tout le monde s’y met, tous les métiers, (les marchands, les orfèvres, les prêtres) plusieurs générations, les femmes aussi. Personne n’est exclu ou dispensé de cette construction. 
Levons-nous et bâtissons, chacun, chaque groupe, ensemble ; les groupes de maison, le groupe du mardi, celui du jeudi prient pour les gens de l’église. Ils sont comme une portion de la muraille qui protège, qui fait grandir. Il y a aussi le ménage, les réparations, le rangement, la louange, les groupes d’enfants… : des portions de la muraille qui sont en bénédiction pour tout le monde. 
Il y a peut-être des parties pas reconstruites, ou en partie en ruine. Il faut se lever et tout bâtir. 
Néhémie 3.10, 23, 28, 29 
Certains reconstruisent des portions en face de leur maison. Ils construisent donc ce qui, forcément, leur tient le plus à coeur. Dans l’église, si je suis jeune, je m’engage dans le groupe de jeunes, si j’ai à coeur la louange, je m’engage dedans ; si je suis un parent, j’ai à coeur de m’engager avec les enfants… Nous sommes impliqués, mais pour autant pas ignorants de ce qui se passe autour. 
Pourquoi Néhémie et tout le peuple faisaient cela ? Pour eux, leurs enfants, leurs familles. C’est pareil pour nous. 
Si les CT ne fonctionnaient pas, qui trinquerait ? Les enfants. Heureusement certains bâtissent cet endroit de muraille, et c’est une bénédiction qui se multiplie après. 
v.13 : Les habitants de Zanoach ont reconstruit la muraille sur 500 mètres, soit le huitième de la muraille. Cette ville était située à 30 kilomètres de Jérusalem. On parle aussi des habitants de Jéricho (v.2). D’autres villes encore sont mentionnées. Donc, des gens se sont déplacés pour venir construire pour d’autres. On ne construit pas pour nous, ce que nous faisons aujourd’hui , c’est pour nous, mais aussi pour d’autres générations. On travaille pour des gens qui vont bientôt connaître le Seigneur. 
Nous devons nous lever et bâtir non seulement pour nous mais aussi pour les autres. Tout cela ne peut se faire sans le sacrifice de Jésus sur la croix et sa résurrection. Levons-nous donc. Il faut peut-être d’abord se laisser toucher, prier et se donner en réponse à notre prière, chacun à notre place, et bâtir tout ce qu’il y a à bâtir, pour nous, nos proches et pour les autres. 
 
Levons-nous et bâtissons 
Catégories : Paroles de dimanches 
Dans les messages précédents nous avons vu que le peuple d’Israël avait rebâti l’autel et le temple. L’autel, pour nous, c’est le sacrifice de Jésus. Sans lui, il n’y a rien du tout dans nos vies. Le temple, c’est la présence de Dieu. Si nous ne l’avons pas dans nos vies par le Saint-Esprit, il n’y a rien. Si nous avons obtenu la présence de Dieu, c’est parce que Jésus est mort pour nous et ressuscité, et nous donne sa vie de résurrection. 
Avec Esdras, il y a un retour à la Parole de Dieu. Après la reconstruction de l’autel et du temple, c’est la reconstruction des murailles de Jérusalem. Une ville sans murailles était très fragile : des ennemis, des pillards pouvaient entrer et détruire. 
Néhémie est chargé du service auprès de l’empereur Artaxerxès (qui était peut-être le beau-fils d’Esther). Il apprend que la muraille est en piteux état. Touché dans son coeur, il commence à prier et se donne lui-même comme réponse à la prière. Il va alors interpeller l’empereur, qui va lui donner tout ce qu’il faut et lui permettre d’aller sur place (Néhémie 2.1-8). 
Néhémie est un homme d’action. Il se met en route et propose un plan d’action très simple : « Levons-nous et bâtissons. » (Néhémie 2.20) Ils ont rencontré de multiples obstacles, Néhémie a été calomnié, on a essayé de tendre des pièges… Ça peut arriver, des coups durs, quand on commence à agir, mais Dieu nous les fait surmonter.En 52 jours les murailles ont été rebâties, cela faisait 4 kilomètres… (Néhémie 6.15) 
Néhémie 3.1-5 
Comment ont-ils fait pour construire en si peu de temps ? Une suite de catégories de personnes, de familles, vont se mettre le long des murailles : 45 sections sous la direction d’une quarantaine de maîtres d’oeuvre. 
Pour nous aujourd’hui, dans l’Église globale et locale, quels sont les endroits à réparer, les lieux fragiles, comme des brèches ? Chacun a à reconstruire, à réparer quelque chose. Chacun et chaque groupe, en cohérence avec les autres, doit bâtir. 
v.5 : les notables d’une section refusent de travailler, ils vont faire leur petit bout de muraille sans tenir compte du reste, faire leur propre truc en dehors d’une soumission réciproque que la Bible demande. La conséquence, c’est que la jonction a dû être compliquée avec la portion d’à côté. Pourquoi cette réaction ? Égoïsme, vue trop étroite, caractère indépendant, ils voulaient garder le pouvoir sur ce qu’ils avaient fait ?… Ils construisaient une muraille globale, mais ils n’ont pas considéré cela. 
Levons-nous et construisons en cohérence les uns avec les autres. 
Néhémie 3.8-13, 23, 28-32 
Tout le monde s’y met, tous les métiers, (les marchands, les orfèvres, les prêtres) plusieurs générations, les femmes aussi. Personne n’est exclu ou dispensé de cette construction. 
Levons-nous et bâtissons, chacun, chaque groupe, ensemble ; les groupes de maison, le groupe du mardi, celui du jeudi prient pour les gens de l’église. Ils sont comme une portion de la muraille qui protège, qui fait grandir. Il y a aussi le ménage, les réparations, le rangement, la louange, les groupes d’enfants… : des portions de la muraille qui sont en bénédiction pour tout le monde. 
Il y a peut-être des parties pas reconstruites, ou en partie en ruine. Il faut se lever et tout bâtir. 
Néhémie 3.10, 23, 28, 29 
Certains reconstruisent des portions en face de leur maison. Ils construisent donc ce qui, forcément, leur tient le plus à coeur. Dans l’église, si je suis jeune, je m’engage dans le groupe de jeunes, si j’ai à coeur la louange, je m’engage dedans ; si je suis un parent, j’ai à coeur de m’engager avec les enfants… Nous sommes impliqués, mais pour autant pas ignorants de ce qui se passe autour. 
Pourquoi Néhémie et tout le peuple faisaient cela ? Pour eux, leurs enfants, leurs familles. C’est pareil pour nous. 
Si les CT ne fonctionnaient pas, qui trinquerait ? Les enfants. Heureusement certains bâtissent cet endroit de muraille, et c’est une bénédiction qui se multiplie après. 
v.13 : Les habitants de Zanoach ont reconstruit la muraille sur 500 mètres, soit le huitième de la muraille. Cette ville était située à 30 kilomètres de Jérusalem. On parle aussi des habitants de Jéricho (v.2). D’autres villes encore sont mentionnées. Donc, des gens se sont déplacés pour venir construire pour d’autres. On ne construit pas pour nous, ce que nous faisons aujourd’hui , c’est pour nous, mais aussi pour d’autres générations. On travaille pour des gens qui vont bientôt connaître le Seigneur. 
Nous devons nous lever et bâtir non seulement pour nous mais aussi pour les autres. Tout cela ne peut se faire sans le sacrifice de Jésus sur la croix et sa résurrection. Levons-nous donc. Il faut peut-être d’abord se laisser toucher, prier et se donner en réponse à notre prière, chacun à notre place, et bâtir tout ce qu’il y a à bâtir, pour nous, nos proches et pour les autres. 
 
Levons-nous et bâtissons 
Catégories : Paroles de dimanches 
Dans les messages précédents nous avons vu que le peuple d’Israël avait rebâti l’autel et le temple. L’autel, pour nous, c’est le sacrifice de Jésus. Sans lui, il n’y a rien du tout dans nos vies. Le temple, c’est la présence de Dieu. Si nous ne l’avons pas dans nos vies par le Saint-Esprit, il n’y a rien. Si nous avons obtenu la présence de Dieu, c’est parce que Jésus est mort pour nous et ressuscité, et nous donne sa vie de résurrection. 
Avec Esdras, il y a un retour à la Parole de Dieu. Après la reconstruction de l’autel et du temple, c’est la reconstruction des murailles de Jérusalem. Une ville sans murailles était très fragile : des ennemis, des pillards pouvaient entrer et détruire. 
Néhémie est chargé du service auprès de l’empereur Artaxerxès (qui était peut-être le beau-fils d’Esther). Il apprend que la muraille est en piteux état. Touché dans son coeur, il commence à prier et se donne lui-même comme réponse à la prière. Il va alors interpeller l’empereur, qui va lui donner tout ce qu’il faut et lui permettre d’aller sur place (Néhémie 2.1-8). 
Néhémie est un homme d’action. Il se met en route et propose un plan d’action très simple : « Levons-nous et bâtissons. » (Néhémie 2.20) Ils ont rencontré de multiples obstacles, Néhémie a été calomnié, on a essayé de tendre des pièges… Ça peut arriver, des coups durs, quand on commence à agir, mais Dieu nous les fait surmonter.En 52 jours les murailles ont été rebâties, cela faisait 4 kilomètres… (Néhémie 6.15) 
Néhémie 3.1-5 
Comment ont-ils fait pour construire en si peu de temps ? Une suite de catégories de personnes, de familles, vont se mettre le long des murailles : 45 sections sous la direction d’une quarantaine de maîtres d’oeuvre. 
Pour nous aujourd’hui, dans l’Église globale et locale, quels sont les endroits à réparer, les lieux fragiles, comme des brèches ? Chacun a à reconstruire, à réparer quelque chose. Chacun et chaque groupe, en cohérence avec les autres, doit bâtir. 
v.5 : les notables d’une section refusent de travailler, ils vont faire leur petit bout de muraille sans tenir compte du reste, faire leur propre truc en dehors d’une soumission réciproque que la Bible demande. La conséquence, c’est que la jonction a dû être compliquée avec la portion d’à côté. Pourquoi cette réaction ? Égoïsme, vue trop étroite, caractère indépendant, ils voulaient garder le pouvoir sur ce qu’ils avaient fait ?… Ils construisaient une muraille globale, mais ils n’ont pas considéré cela. 
Levons-nous et construisons en cohérence les uns avec les autres. 
Néhémie 3.8-13, 23, 28-32 
Tout le monde s’y met, tous les métiers, (les marchands, les orfèvres, les prêtres) plusieurs générations, les femmes aussi. Personne n’est exclu ou dispensé de cette construction. 
Levons-nous et bâtissons, chacun, chaque groupe, ensemble ; les groupes de maison, le groupe du mardi, celui du jeudi prient pour les gens de l’église. Ils sont comme une portion de la muraille qui protège, qui fait grandir. Il y a aussi le ménage, les réparations, le rangement, la louange, les groupes d’enfants… : des portions de la muraille qui sont en bénédiction pour tout le monde. 
Il y a peut-être des parties pas reconstruites, ou en partie en ruine. Il faut se lever et tout bâtir. 
Néhémie 3.10, 23, 28, 29 
Certains reconstruisent des portions en face de leur maison. Ils construisent donc ce qui, forcément, leur tient le plus à coeur. Dans l’église, si je suis jeune, je m’engage dans le groupe de jeunes, si j’ai à coeur la louange, je m’engage dedans ; si je suis un parent, j’ai à coeur de m’engager avec les enfants… Nous sommes impliqués, mais pour autant pas ignorants de ce qui se passe autour. 
Pourquoi Néhémie et tout le peuple faisaient cela ? Pour eux, leurs enfants, leurs familles. C’est pareil pour nous. 
Si les CT ne fonctionnaient pas, qui trinquerait ? Les enfants. Heureusement certains bâtissent cet endroit de muraille, et c’est une bénédiction qui se multiplie après. 
v.13 : Les habitants de Zanoach ont reconstruit la muraille sur 500 mètres, soit le huitième de la muraille. Cette ville était située à 30 kilomètres de Jérusalem. On parle aussi des habitants de Jéricho (v.2). D’autres villes encore sont mentionnées. Donc, des gens se sont déplacés pour venir construire pour d’autres. On ne construit pas pour nous, ce que nous faisons aujourd’hui , c’est pour nous, mais aussi pour d’autres générations. On travaille pour des gens qui vont bientôt connaître le Seigneur. 
Nous devons nous lever et bâtir non seulement pour nous mais aussi pour les autres. Tout cela ne peut se faire sans le sacrifice de Jésus sur la croix et sa résurrection. Levons-nous donc. Il faut peut-être d’abord se laisser toucher, prier et se donner en réponse à notre prière, chacun à notre place, et bâtir tout ce qu’il y a à bâtir, pour nous, nos proches et pour les autres. 
 
Levons-nous et bâtissons 
Catégories : Paroles de dimanches 
Dans les messages précédents nous avons vu que le peuple d’Israël avait rebâti l’autel et le temple. L’autel, pour nous, c’est le sacrifice de Jésus. Sans lui, il n’y a rien du tout dans nos vies. Le temple, c’est la présence de Dieu. Si nous ne l’avons pas dans nos vies par le Saint-Esprit, il n’y a rien. Si nous avons obtenu la présence de Dieu, c’est parce que Jésus est mort pour nous et ressuscité, et nous donne sa vie de résurrection. 
Avec Esdras, il y a un retour à la Parole de Dieu. Après la reconstruction de l’autel et du temple, c’est la reconstruction des murailles de Jérusalem. Une ville sans murailles était très fragile : des ennemis, des pillards pouvaient entrer et détruire. 
Néhémie est chargé du service auprès de l’empereur Artaxerxès (qui était peut-être le beau-fils d’Esther). Il apprend que la muraille est en piteux état. Touché dans son coeur, il commence à prier et se donne lui-même comme réponse à la prière. Il va alors interpeller l’empereur, qui va lui donner tout ce qu’il faut et lui permettre d’aller sur place (Néhémie 2.1-8). 
Néhémie est un homme d’action. Il se met en route et propose un plan d’action très simple : « Levons-nous et bâtissons. » (Néhémie 2.20) Ils ont rencontré de multiples obstacles, Néhémie a été calomnié, on a essayé de tendre des pièges… Ça peut arriver, des coups durs, quand on commence à agir, mais Dieu nous les fait surmonter.En 52 jours les murailles ont été rebâties, cela faisait 4 kilomètres… (Néhémie 6.15) 
Néhémie 3.1-5 
Comment ont-ils fait pour construire en si peu de temps ? Une suite de catégories de personnes, de familles, vont se mettre le long des murailles : 45 sections sous la direction d’une quarantaine de maîtres d’oeuvre. 
Pour nous aujourd’hui, dans l’Église globale et locale, quels sont les endroits à réparer, les lieux fragiles, comme des brèches ? Chacun a à reconstruire, à réparer quelque chose. Chacun et chaque groupe, en cohérence avec les autres, doit bâtir. 
v.5 : les notables d’une section refusent de travailler, ils vont faire leur petit bout de muraille sans tenir compte du reste, faire leur propre truc en dehors d’une soumission réciproque que la Bible demande. La conséquence, c’est que la jonction a dû être compliquée avec la portion d’à côté. Pourquoi cette réaction ? Égoïsme, vue trop étroite, caractère indépendant, ils voulaient garder le pouvoir sur ce qu’ils avaient fait ?… Ils construisaient une muraille globale, mais ils n’ont pas considéré cela. 
Levons-nous et construisons en cohérence les uns avec les autres. 
Néhémie 3.8-13, 23, 28-32 
Tout le monde s’y met, tous les métiers, (les marchands, les orfèvres, les prêtres) plusieurs générations, les femmes aussi. Personne n’est exclu ou dispensé de cette construction. 
Levons-nous et bâtissons, chacun, chaque groupe, ensemble ; les groupes de maison, le groupe du mardi, celui du jeudi prient pour les gens de l’église. Ils sont comme une portion de la muraille qui protège, qui fait grandir. Il y a aussi le ménage, les réparations, le rangement, la louange, les groupes d’enfants… : des portions de la muraille qui sont en bénédiction pour tout le monde. 
Il y a peut-être des parties pas reconstruites, ou en partie en ruine. Il faut se lever et tout bâtir. 
Néhémie 3.10, 23, 28, 29 
Certains reconstruisent des portions en face de leur maison. Ils construisent donc ce qui, forcément, leur tient le plus à coeur. Dans l’église, si je suis jeune, je m’engage dans le groupe de jeunes, si j’ai à coeur la louange, je m’engage dedans ; si je suis un parent, j’ai à coeur de m’engager avec les enfants… Nous sommes impliqués, mais pour autant pas ignorants de ce qui se passe autour. 
Pourquoi Néhémie et tout le peuple faisaient cela ? Pour eux, leurs enfants, leurs familles. C’est pareil pour nous. 
Si les CT ne fonctionnaient pas, qui trinquerait ? Les enfants. Heureusement certains bâtissent cet endroit de muraille, et c’est une bénédiction qui se multiplie après. 
v.13 : Les habitants de Zanoach ont reconstruit la muraille sur 500 mètres, soit le huitième de la muraille. Cette ville était située à 30 kilomètres de Jérusalem. On parle aussi des habitants de Jéricho (v.2). D’autres villes encore sont mentionnées. Donc, des gens se sont déplacés pour venir construire pour d’autres. On ne construit pas pour nous, ce que nous faisons aujourd’hui , c’est pour nous, mais aussi pour d’autres générations. On travaille pour des gens qui vont bientôt connaître le Seigneur. 
Nous devons nous lever et bâtir non seulement pour nous mais aussi pour les autres. Tout cela ne peut se faire sans le sacrifice de Jésus sur la croix et sa résurrection. Levons-nous donc. Il faut peut-être d’abord se laisser toucher, prier et se donner en réponse à notre prière, chacun à notre place, et bâtir tout ce qu’il y a à bâtir, pour nous, nos proches et pour les autres. 
 
Levons-nous et bâtissons 
Catégories : Paroles de dimanches 
Dans les messages précédents nous avons vu que le peuple d’Israël avait rebâti l’autel et le temple. L’autel, pour nous, c’est le sacrifice de Jésus. Sans lui, il n’y a rien du tout dans nos vies. Le temple, c’est la présence de Dieu. Si nous ne l’avons pas dans nos vies par le Saint-Esprit, il n’y a rien. Si nous avons obtenu la présence de Dieu, c’est parce que Jésus est mort pour nous et ressuscité, et nous donne sa vie de résurrection. 
Avec Esdras, il y a un retour à la Parole de Dieu. Après la reconstruction de l’autel et du temple, c’est la reconstruction des murailles de Jérusalem. Une ville sans murailles était très fragile : des ennemis, des pillards pouvaient entrer et détruire. 
Néhémie est chargé du service auprès de l’empereur Artaxerxès (qui était peut-être le beau-fils d’Esther). Il apprend que la muraille est en piteux état. Touché dans son coeur, il commence à prier et se donne lui-même comme réponse à la prière. Il va alors interpeller l’empereur, qui va lui donner tout ce qu’il faut et lui permettre d’aller sur place (Néhémie 2.1-8). 
Néhémie est un homme d’action. Il se met en route et propose un plan d’action très simple : « Levons-nous et bâtissons. » (Néhémie 2.20) Ils ont rencontré de multiples obstacles, Néhémie a été calomnié, on a essayé de tendre des pièges… Ça peut arriver, des coups durs, quand on commence à agir, mais Dieu nous les fait surmonter.En 52 jours les murailles ont été rebâties, cela faisait 4 kilomètres… (Néhémie 6.15) 
Néhémie 3.1-5 
Comment ont-ils fait pour construire en si peu de temps ? Une suite de catégories de personnes, de familles, vont se mettre le long des murailles : 45 sections sous la direction d’une quarantaine de maîtres d’oeuvre. 
Pour nous aujourd’hui, dans l’Église globale et locale, quels sont les endroits à réparer, les lieux fragiles, comme des brèches ? Chacun a à reconstruire, à réparer quelque chose. Chacun et chaque groupe, en cohérence avec les autres, doit bâtir. 
v.5 : les notables d’une section refusent de travailler, ils vont faire leur petit bout de muraille sans tenir compte du reste, faire leur propre truc en dehors d’une soumission réciproque que la Bible demande. La conséquence, c’est que la jonction a dû être compliquée avec la portion d’à côté. Pourquoi cette réaction ? Égoïsme, vue trop étroite, caractère indépendant, ils voulaient garder le pouvoir sur ce qu’ils avaient fait ?… Ils construisaient une muraille globale, mais ils n’ont pas considéré cela. 
Levons-nous et construisons en cohérence les uns avec les autres. 
Néhémie 3.8-13, 23, 28-32 
Tout le monde s’y met, tous les métiers, (les marchands, les orfèvres, les prêtres) plusieurs générations, les femmes aussi. Personne n’est exclu ou dispensé de cette construction. 
Levons-nous et bâtissons, chacun, chaque groupe, ensemble ; les groupes de maison, le groupe du mardi, celui du jeudi prient pour les gens de l’église. Ils sont comme une portion de la muraille qui protège, qui fait grandir. Il y a aussi le ménage, les réparations, le rangement, la louange, les groupes d’enfants… : des portions de la muraille qui sont en bénédiction pour tout le monde. 
Il y a peut-être des parties pas reconstruites, ou en partie en ruine. Il faut se lever et tout bâtir. 
Néhémie 3.10, 23, 28, 29 
Certains reconstruisent des portions en face de leur maison. Ils construisent donc ce qui, forcément, leur tient le plus à coeur. Dans l’église, si je suis jeune, je m’engage dans le groupe de jeunes, si j’ai à coeur la louange, je m’engage dedans ; si je suis un parent, j’ai à coeur de m’engager avec les enfants… Nous sommes impliqués, mais pour autant pas ignorants de ce qui se passe autour. 
Pourquoi Néhémie et tout le peuple faisaient cela ? Pour eux, leurs enfants, leurs familles. C’est pareil pour nous. 
Si les CT ne fonctionnaient pas, qui trinquerait ? Les enfants. Heureusement certains bâtissent cet endroit de muraille, et c’est une bénédiction qui se multiplie après. 
v.13 : Les habitants de Zanoach ont reconstruit la muraille sur 500 mètres, soit le huitième de la muraille. Cette ville était située à 30 kilomètres de Jérusalem. On parle aussi des habitants de Jéricho (v.2). D’autres villes encore sont mentionnées. Donc, des gens se sont déplacés pour venir construire pour d’autres. On ne construit pas pour nous, ce que nous faisons aujourd’hui , c’est pour nous, mais aussi pour d’autres générations. On travaille pour des gens qui vont bientôt connaître le Seigneur. 
Nous devons nous lever et bâtir non seulement pour nous mais aussi pour les autres. Tout cela ne peut se faire sans le sacrifice de Jésus sur la croix et sa résurrection. Levons-nous donc. Il faut peut-être d’abord se laisser toucher, prier et se donner en réponse à notre prière, chacun à notre place, et bâtir tout ce qu’il y a à bâtir, pour nous, nos proches et pour les autres. 
 
Levons-nous et bâtissons 
Catégories : Paroles de dimanches 
Dans les messages précédents nous avons vu que le peuple d’Israël avait rebâti l’autel et le temple. L’autel, pour nous, c’est le sacrifice de Jésus. Sans lui, il n’y a rien du tout dans nos vies. Le temple, c’est la présence de Dieu. Si nous ne l’avons pas dans nos vies par le Saint-Esprit, il n’y a rien. Si nous avons obtenu la présence de Dieu, c’est parce que Jésus est mort pour nous et ressuscité, et nous donne sa vie de résurrection. 
Avec Esdras, il y a un retour à la Parole de Dieu. Après la reconstruction de l’autel et du temple, c’est la reconstruction des murailles de Jérusalem. Une ville sans murailles était très fragile : des ennemis, des pillards pouvaient entrer et détruire. 
Néhémie est chargé du service auprès de l’empereur Artaxerxès (qui était peut-être le beau-fils d’Esther). Il apprend que la muraille est en piteux état. Touché dans son coeur, il commence à prier et se donne lui-même comme réponse à la prière. Il va alors interpeller l’empereur, qui va lui donner tout ce qu’il faut et lui permettre d’aller sur place (Néhémie 2.1-8). 
Néhémie est un homme d’action. Il se met en route et propose un plan d’action très simple : « Levons-nous et bâtissons. » (Néhémie 2.20) Ils ont rencontré de multiples obstacles, Néhémie a été calomnié, on a essayé de tendre des pièges… Ça peut arriver, des coups durs, quand on commence à agir, mais Dieu nous les fait surmonter.En 52 jours les murailles ont été rebâties, cela faisait 4 kilomètres… (Néhémie 6.15) 
Néhémie 3.1-5 
Comment ont-ils fait pour construire en si peu de temps ? Une suite de catégories de personnes, de familles, vont se mettre le long des murailles : 45 sections sous la direction d’une quarantaine de maîtres d’oeuvre. 
Pour nous aujourd’hui, dans l’Église globale et locale, quels sont les endroits à réparer, les lieux fragiles, comme des brèches ? Chacun a à reconstruire, à réparer quelque chose. Chacun et chaque groupe, en cohérence avec les autres, doit bâtir. 
v.5 : les notables d’une section refusent de travailler, ils vont faire leur petit bout de muraille sans tenir compte du reste, faire leur propre truc en dehors d’une soumission réciproque que la Bible demande. La conséquence, c’est que la jonction a dû être compliquée avec la portion d’à côté. Pourquoi cette réaction ? Égoïsme, vue trop étroite, caractère indépendant, ils voulaient garder le pouvoir sur ce qu’ils avaient fait ?… Ils construisaient une muraille globale, mais ils n’ont pas considéré cela. 
Levons-nous et construisons en cohérence les uns avec les autres. 
Néhémie 3.8-13, 23, 28-32 
Tout le monde s’y met, tous les métiers, (les marchands, les orfèvres, les prêtres) plusieurs générations, les femmes aussi. Personne n’est exclu ou dispensé de cette construction. 
Levons-nous et bâtissons, chacun, chaque groupe, ensemble ; les groupes de maison, le groupe du mardi, celui du jeudi prient pour les gens de l’église. Ils sont comme une portion de la muraille qui protège, qui fait grandir. Il y a aussi le ménage, les réparations, le rangement, la louange, les groupes d’enfants… : des portions de la muraille qui sont en bénédiction pour tout le monde. 
Il y a peut-être des parties pas reconstruites, ou en partie en ruine. Il faut se lever et tout bâtir. 
Néhémie 3.10, 23, 28, 29 
Certains reconstruisent des portions en face de leur maison. Ils construisent donc ce qui, forcément, leur tient le plus à coeur. Dans l’église, si je suis jeune, je m’engage dans le groupe de jeunes, si j’ai à coeur la louange, je m’engage dedans ; si je suis un parent, j’ai à coeur de m’engager avec les enfants… Nous sommes impliqués, mais pour autant pas ignorants de ce qui se passe autour. 
Pourquoi Néhémie et tout le peuple faisaient cela ? Pour eux, leurs enfants, leurs familles. C’est pareil pour nous. 
Si les CT ne fonctionnaient pas, qui trinquerait ? Les enfants. Heureusement certains bâtissent cet endroit de muraille, et c’est une bénédiction qui se multiplie après. 
v.13 : Les habitants de Zanoach ont reconstruit la muraille sur 500 mètres, soit le huitième de la muraille. Cette ville était située à 30 kilomètres de Jérusalem. On parle aussi des habitants de Jéricho (v.2). D’autres villes encore sont mentionnées. Donc, des gens se sont déplacés pour venir construire pour d’autres. On ne construit pas pour nous, ce que nous faisons aujourd’hui , c’est pour nous, mais aussi pour d’autres générations. On travaille pour des gens qui vont bientôt connaître le Seigneur. 
Nous devons nous lever et bâtir non seulement pour nous mais aussi pour les autres. Tout cela ne peut se faire sans le sacrifice de Jésus sur la croix et sa résurrection. Levons-nous donc. Il faut peut-être d’abord se laisser toucher, prier et se donner en réponse à notre prière, chacun à notre place, et bâtir tout ce qu’il y a à bâtir, pour nous, nos proches et pour les autres. 
 
 
 
 
 
 
 
ECC/CEPAC 
La vie de la foi du croyant 
OBSTACLES SURMONTÉS PAR NÉHÉMIE 
(NÉHÉMIE 6.1-19) 
Introduction 
Toute entreprise sérieuse de reconstruction spirituelle a toujours apporté un lot d’obstacles, il faut savoir faire face : 
1. Ne pas niez la réalité, ne pas fuir, les affrontez. 
2. Ne pas vous cachez derrière la foi et la prière, passez à l’action. 
3. Etre prêts à vous ajuster. 
Lorsque nous sommes engagés dans le combat pour le Seigneur, Satan place parfois devant nous des pièges particulièrement subtils. Pour en être gardés, demeurons en contact étroit avec le Seigneur.  
Ceux qui s'opposent ainsi à l'œuvre de Dieu de façon secrète sont bien plus dangereux que des ennemis déclarés. 
Les chapitres 4 et 6 nous montrent la nécessité d’être armé pour accomplir l’œuvre du Seigneur, car, à chaque instant, on peut être appelé à combattre l’ennemi. 
Développement 
Les murailles et les portes de Jérusalem avaient une signification la sécurité et la justice sociale 
Jérusalem devenue une ville sans murailles était très fragile : des ennemis, des pillards pouvaient entrer et détruire. 
On trouve dans l'Ecriture plusieurs exemples très encourageants pour la vie de la foi du croyant : l'un d'entre eux est celui de Néhémie - son nom signifie : « l'Eternel a consolé ». Il est remarquable de voir tout l'intérêt qu'il a toujours montré à l'égard de son peuple, le peuple de Dieu.  
Néhémie se montrait très sensible aux souffrances et à l'humiliation de ceux qui étaient demeurés de reste de la captivité et végétaient alors à Jérusalem. 
Néhémie est chargé du service auprès de l’empereur Artaxerxès (qui était peut-être le beau-fils d’Esther). Il apprend que la muraille est en piteux état. 
Touché dans son cœur, il commence à prier et se donne lui-même comme réponse à la prière. Il va alors interpeller l’empereur, qui va lui donner tout ce qu’il faut et lui permettre d’aller sur place (Néhémie 2.1-8). 
Néhémie est un homme d’action. Il se met en route et propose un plan d’action très simple : « Levons-nous et bâtissons. » (Néhémie 2.20). 
Ils ont rencontré de multiples obstacles, Néhémie a été calomnié, on a essayé de tendre des pièges…  
Ça peut arriver, des coups durs, quand on commence à agir, mais Dieu nous les fait surmonter. 
En 52 jours les murailles ont été rebâties, cela faisait 4 kilomètres… (Néhémie 6.15) 
Le diable travaille toujours à renouveler son personnel. Soyons sur nos gardes ; il réussit parfois à se servir d'un enfant de Dieu. 
Le Seigneur nous a laissé exemple de Néhémie : 
1. Il est un exemple vivant de ce qu’ESAIE a prophétisé sur le sens du jeune, du sabbat et de la justice qui permettront de réaliser la promesse de reconstruction de Jérusalem (Esaie 58 :6-12 ; 61.4) ; 
2. Il donne l’exemple de la solidarité, un homme de foi et de prière ; un intercesseur, du respect de l’engagement personnel, un sens de partage ; 
3. Un homme qui a su appliqué la parole de Dieu et les principes du deutéronome (5 :8-13 ) ; imprégné de la parole de Dieu 
4. Un stratège et déterminé, avec conscience éclairée par l’écriture.  
Il veillait et priait continuellement ; ainsi Il discernait les pièges les plus subtils de Satan et il a su surmonté les obstacles. 
Les CINQ pièges contre NEHEMIE se présentent de la manière ci-après : 
1. Mépris (insulté, moquerie et humiliation) 4 :1-5 ; 10-11 ; 14-15 
- Qualifiés d’impuissants 
- Leurs œuvres inefficaces  
2. Le piège de la ruse pour être tuer, se laisser distraire et négliger le travail (6 :1-4) ; 
Après insultes ; moquerie et humiliations restées sans succès ; Satan remplace maintenant l'opposition ouverte lui font une proposition hypocrite qui semble dictée par un désir de « détente » amicale ! (Prov. 27 : 6). L'essentiel pour l'adversaire est de compromettre cet homme de Dieu, jusqu'alors incorruptible (6 : 2b).  
En fait, Néhémie comprend que ces hommes veulent, d'une manière ou d'une autre, lui « faire du mal » personnellement. La proposition d'une rencontre dans un village de la vallée d'Ono, celle des artisans, pouvait paraître assez raisonnable.  
3. Le piège de l’intimidation (6 :5-9) ; 
Après échec de la dernière tentative, les ennemis changent de tactique ; en fait, ils dévoilent leurs réelles intentions, en adressant à cet homme de Dieu une lettre ouverte, ils ont recours au mensonge. Ils affirment qu'on dit que Néhémie veut se révolter contre le roi. C'était, dans le contexte de l'époque, une accusation particulièrement grave. Ils cherchent à l'étayer en prétendant s'appuyer sur les dires d'un certain Gashmu. Néhémie, écrivent-ils - tout en s'exprimant habilement de façon vague -, songe à devenir le roi des Juifs et il a établi des prophètes pour répandre ce bruit dans tout Jérusalem, en proclamant : « Il y a un roi en Juda » (6 : 6-7). « Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose », a écrit un auteur profane. L'apôtre Paul sera, lui aussi, plus tard accusé d'exciter des séditions parmi tous les Juifs de la terre habitée (Act. 24 : 5) ! 
« Viens donc maintenant, et tenons conseil ensemble », ajoutent-ils (v. 7). Mais quel exemple donne à nouveau cet homme de Dieu : il envoie calmement dire à Sanballat : « Aucune des choses dont tu parles n'a eu lieu ; mais tu les inventes dans ton propre coeur » (v. 8). Il se rejette sur l'Eternel, en lui demandant : « Maintenant donc, fortifie mes mains ! » (v. 9). 
Ne nous laissons donc pas troubler par des réflexions acerbes. Au lieu d'entrer en discussion avec l'Ennemi, tournons-nous toujours, comme Néhémie, vers le Seigneur. 
3. Le piège de la ruse (6 :10-14) et Luc 13 :31; Fausses proposition pour désobéir à DIEU  
La « chair », est toujours disposée à écouter les propositions habituellement attrayantes de l'Ennemi. « Chacun est tenté, étant attiré et amorcé par sa propre convoitise »,  
Quand il s'agit de la vérité de Dieu ou de son œuvre, il ne peut être question de reculer la borne ancienne, d'accepter un compromis avec le monde, même sous sa version « religieuse » - aussi raisonnable qu'il puisse paraître aux yeux de certains chrétiens devenus mondains. Avec Néhémie, les adversaires font preuve de persévérance dans leurs mauvaises intentions. 
L'ennemi sait que souvent nous finissons par « céder » à une tentation ou à un « arrangement » habilement représentés. Ce fut le cas pour Samson, avec sa femme philistine qui le tourmentait (Jug. 14 : 17) et, ensuite avec Delila qui le pressait, au point qu'il en était ennuyé jusqu'à la mort (Jug. 16 : 15-21). 
Les leaders ennemis soudoient maintenant un Juif, Shemahia. Sans doute a-t-il demandé à Néhémie de lui rendre visite dans sa maison, où il s'est enfermé ? Il prétend avertir l'homme de Dieu d'un danger imminent. On va venir l'assassiner de nuit, affirme- t-il par deux fois (v. 10) ; il presse fortement Néhémie de se mettre à l'abri - mais de façon contraire à l'enseignement de la loi (Deut. 18 : 20). Néhémie n'était ni sacrificateur ni Lévite ; il lui était donc interdit d'entrer dans le Temple, encore moins d'y rester pour s'y cacher. Il connaissait l'Ecriture, la crainte de Dieu l'habitait et il n'y avait pas trace en lui de cet orgueil qui avait perdu le roi Ozias (2 Chr. 26 :18). 
Il déclare donc : « Un homme comme moi fuirait-il ? Et quel homme comme moi entrerait dans le temple et vivrait ? (v. 11). Il ne sortira pas du sentier de l'obéissance à Dieu. Ceci rappelle les efforts des pharisiens qui, eux aussi, cherchaient à effrayer le Seigneur et à Le faire sortir du chemin de la foi, en disant : « Retire-toi et va-t'en d'ici, car Hérode veut te tuer » (Luc 13 : 31). Mais le Seigneur avait dressé résolument sa face pour aller à Jérusalem (Luc 9 : 51) et Il répond simplement : « Allez dire à ce renard… le troisième jour, pour moi tout s'achève » (Luc 13 : 32). Il n'avait pas été reçu par les siens, mais rien ne pouvait Le faire dévier de son chemin d'amour vers la croix.  
5. Le piège de la peur (6 :15-18 ). 
Mais Néhémie et ses compagnons d'œuvre agissent avant tout « sous le regard de Dieu ». Déjà accusés de vouloir se révolter, ils font preuve dans leur réponse de fermeté et de confiance : « Le Dieu des cieux, lui, nous fera prospérer » (2 : 20a). Au lieu de se laisser entraîner dans une discussion stérile, ils prennent leurs distances et soulignent : « Mais vous, vous n'avez ni part, ni droit, ni souvenir à Jérusalem » (v. 20b).  
Il n'y a pas lieu de craindre à se laisser aller à des compromis avec un monde ennemi qui cherche toujours à nous effrayer. « Dieu règne, Il est revêtu de majesté… son trône est établi dès longtemps » (Ps. 93 ; 1-2). 
CONCLUSION 
Ne cessons jamais de combattre. N'oublions pas que « les armes de notre guerre ne sont pas charnelles mais puissantes par Dieu » (2 Cor. 10 : 4-5). C'est le Seigneur qui tient l'épée qui décide des combats ! 
Pour nous aujourd’hui, dans l’Église globale et locale, nous devons savoir discerner et surmonter les pièges et les obstacles du Satan lorsque nous avons une vision ou organisons un projet.  
Que le Seigneur veuille nous enseigner, nous exhorter, et peut-être nous reprendre, par ce message. 
Laissons nous guider par ce personnage unique sur le chemin du combat pour le seigneur ; 
Laissons nous interpeller pour que soit réhabilité au sein de la pensé la réalité biblique du combat contre les obstacles de la vision. SANS VISION LE PEUPLE PEURIT 
 
Dieu soit avec nous 
 
Ev.Dr Bekoma Yamabesp 

 

(c) INSTITUT TECHNIQUE MEDICAL LE BIEN-ETRE - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 23.06.2015
- Déjà 1895 visites sur ce site!